Il est en fait excellent de découvrir les grands espaces ouverts du Canada en motoneige. Ce qui s’est réellement passé est vraiment un terrible accident. Les responsables canadiens de l’application des lois recherchent 5 touristes français tombés au moyen de glace sur des motoneiges lors d’une excursion dans le Haut-Québec, alors que les autorités provinciales respectives se sont engagées à renforcer les mesures de sécurité concernant l’utilisation des voitures tranquilles. Après une autre nuit de navigation infructueuse, l’effort de redémarrer les cinq à l’aube dans une région du côté est du lac Saint-Jean près de la ville de Saint-Henri-de Taillon. Deux motoneiges, tout comme les personnes employées par la sélection initiale de 8 à 10 touristes avec leur guide canadien, ont été retrouvées mercredi au fond du lac Saint-Jean près du lieu de l’accident. Les enquêteurs espèrent toujours que les visiteurs français ont pu trouver refuge sur une île ou un chalet mais se trouvent incapables de communiquer, a indiqué le porte-parole de la police provinciale, Hugues Beaulieu. « Il y a encore des points spécifiques à vérifier », a-t-il expliqué. « Néanmoins, plus les heures passent, plus cela devient improbable. » Une troisième équipe de plongeurs, disposant d’un petit sous-marin équipé de sonar, randonnée motoneige s’est jointe à la recherche au lever du soleil. De nombreux agents chargés de l’application des lois, garantis par deux hélicoptères, ont également été utilisés dans la communauté, située à environ 225 km au nord de la région de Québec. Les motoneiges se sont écrasées à travers la glace mardi soir dans un endroit dangereux où le lac Saint-Jean s’infiltre dans une rivière. La région est éloignée des frontières des motoneiges car la glace y est plus fine. Les responsables de l’application des lois ont mentionné que ces personnes avaient été alertées par deux des touristes qui avaient sauvé un autre de votre eau potable. Le manuel dépassé de 42 à 12 mois, Benoit L’Espérance, a été retiré par les équipes d’intervention d’urgence et emmené au centre médical, mais est décédé plus tard. Le fait de traverser quelques visiteurs a été rapidement hospitalisé et traité pour publicité et secousse. Les enquêteurs ne savent pas pourquoi le groupe a conservé les voies acceptées pour s’aventurer « hors piste » à la tombée de la nuit, mais certains professionnels pensent qu’ils auraient pu chercher à minimiser rapidement leur lieu de vacances. Les forces de l’ordre canadiennes n’ont pas dévoilé l’identité des motoneigistes disparus, mais les médias de masse français en ont découvert un, Gilles Claude, le père de trois biathlètes du monde entier. « Il y a clairement eu un accident déchirant au Canada impliquant mon père », a déclaré l’un des nombreux fils, Fabien Claude, lors d’une entrevue d’emploi sur l’entonnoir L’Equipe juste après avoir remporté une médaille de bronze lors de la Coupe du monde de biathlon d’hier en Slovénie. « Ce podium est pour lui, je suis sûr qu’il est fier de nous et que je suis fier de ce que j’ai réalisé ces jours-ci », a-t-il déclaré à L’Equipe, en parlant à son frère Florent de son côté. Surpris par l’accident, les autorités provinciales du Québec ont déclaré vouloir rendre obligatoire la formation des manuels et des voyageurs en motoneige. « Les cours seront appris et des mesures seront probablement prises pour éviter ce genre de catastrophes plus tard », a déclaré la ministre québécoise des Voyages et des Loisirs, Caroline Proulx. Mme Proulx a indiqué que le gouvernement « avait besoin » d’avoir « l’encadrement des manuels pour les véhicules hors rue et les voyageurs qui les louent provenant d’une entreprise », a-t-elle déclaré, laissant des commentaires sur les mesures prévues depuis des semaines. De plus, à compter d’hier, les entreprises de vacances de nature et d’expérience de la province auront besoin d’une accréditation de qualité et de sécurité de base pour être qualifiées pour recevoir une aide financière par le biais du ministère du Tourisme. Le Québec, avec quelque 33 000 km de sentiers notés dans les options de cartes postales, est populaire auprès des amateurs de motoneige, en particulier des étrangers. Conformément à la Fédération des boîtes de nuit de motoneige du Québec, les voyages et les loisirs en motoneige génèrent plus de 3 milliards de dollars canadiens par année pour votre province et créent du travail pour plus de 14 000 personnes. Chaque année, néanmoins, 20 personnes décèdent généralement au Québec en raison d’incidents de motoneige.