C’est un nouveau monde est en train de voir le jour. Après des années d’atermoiement, les robots arrivent dans nos vies. Ils peuvent déjà danser, dialoguer, discerner les émotions humaines. Certains les emploient déjà pour investir les aéroports, seconder les ouvriers, nous seconder pour mitonner de bons petits plats avec nous (ou, en ce qui me concerne, pour nous)… Hier, j’ai même suivi un colloque à Londres où il n’a été question que de ça, des nombreux bouleversements qu’ils s’apprêtent à introduire dans nos vies. Le sujet global de ce congrès portait plus exactement centré sur la collaboration entre homme et robot, autant dans l’industrie que dans celui de la robotique de service. Le symposium ne portait pas sur les innovations technologiques particuliers. Le thème était davantage abordé sous l’angle la question du facteur humain, de la révolution dans les processus industriels. A l’occasion d’un débat, j’ai pu discerner qu’un changement important s’est fait dans les esprits : les robots ne sont plus considérés comme des substituts, mais comme des seconds. On ne parle plus tant question de robots, mais de robots humanoïdes collaboratifs, aussi appelés cobots. La robotique collaborative invente les robots non en tant que travailleurs autonomes mais de manière à ce qu’ils travaillent non seulement en présence de l’homme mais aussi et surtout en coopérant avec lui. Cette contribution d’un nouveau genre suppose d’une part une intelligence embarquée, s’appuyant sur les détecteurs du robot, et aussi que le robot soit délicat, que ses déplacements soient souples, plus proches de ceux des hommes. La robotique collaborative concerne aujourd’hui l’ensemble des secteurs de l’industrie, grands groupes ou PME. L’adaptabilité, Agence SEO la sûreté et le coût des robots collaboratifs en font des outils qui permettent l’automatisation de tâches encore peu ou pas robotisées à l’heure actuelle. La robotique collaborative est en fait la deuxième vague de robotisation des industries, pilier de l’usine du futur pour relancer la compétitivité des entreprises. En tout cas, la période qui vient risquent d’être très excitante. Les robots ont encore un long chemin à faire pour convaincre de leur indispensabilité mais également savoir s’intégrer. Mais ce congrès a suffi à me convaincre. Et il y a fort à parier que d’ici 5 ans, Formation referencement naturel Lille nous aurons tous un Aiko Chihira à son boulot ou à la maison pour nous aider dans nos responsabilités.